à l’image des grandes marques de luxe, Ferrari n’a pas souffert de la crise économique engendrée par la pandémie. Le Cheval cabré a dépassé les 10 000 ventes annuelles en 2020, sans aucun SUV à son catalogue. Pour autant, les investisseurs se montrent inquiets.
Le joyau transalpin, roi des moteurs thermiques, n’a pas montré un empressement communicatif à passer à l’électrique. L’ancien patron Louis Camilleri avait fixé une date lointaine à « après 2025 », soit aux calendes grecques.
Pour rassurer les pourvoyeurs de fonds, le nouvel homme fort John Elknann a affirmé qu’une Ferrari 100 % électrique verrait le jour avant cette date. Les prototypes sont en cours de conception.