N°1 : Déborah Koegele
26 ans, originaire d’Oberhausbergen, elle a suivi des études de commerce avant de devenir créatrice de contenu en free-lance.
Vous êtes ici pour des répétitions, mais la danse ne vous fait pas peur, n’est-ce pas ?
C’est vrai que j’ai quelques notions de danse. À côté du « posing » et du « modeling », j’ai fait beaucoup de danse et notamment dix ans de modern jazz. Mais ce n’est pas pour autant que je suis à l’aise ! (rires)
N°2 : Anastacia Kroutov
18 ans, elle est née à la Robertsau, mais vit depuis peu à La Wantzenau. Elle suit un BTS Management en commerce opérationnel en alternance, tout en travaillant dans un restaurant.
Est-ce que la gastronomie alsacienne rythme votre quotidien ?
Presque ! Je travaille à la Cour des Chasseurs, à La Wantzenau. Nous servons beaucoup de plats alsaciens. J’ai une préférence pour les tartes flambées. Pour l’instant, je travaille en salle, mais lors de ma deuxième année, j’aimerais me tourner vers le management.
N°3 : Lisa Yager
24 ans, elle est originaire de Hœnheim. Après avoir suivi un master en gestion de patrimoine, elle a commencé à travailler dans le secteur bancaire. Elle s’occupe notamment des professionnels de santé.
Outre votre travail qui est prenant, qu’aimez-vous faire de votre temps libre ?
J’aime beaucoup la nature et les animaux. J’adore partir en road trip avec mon sac à dos. C’est ce que je fais de mon temps libre. Une partie de mon temps est dédiée à la promenade de chiens à la SPA de Strasbourg, mais aussi à Mulhouse, où vit mon père.
N°4 : Lorena Lamy
25 ans, elle est originaire de Rixheim. Après un BTS Economie sociale et familiale, elle est devenue secrétaire médicale à l’hôpital de Mulhouse, dans un service dédié aux enfants en situation de handicap.
Votre vie est bien remplie. Trouvez-vous encore le temps de faire du sport ?
Bien sûr. J’en fais beaucoup, notamment de la randonnée sur nos beaux sentiers alsaciens, mais aussi du vélo le long de la Route des vins avec mon père, qui est cycliste. Autrement, j’aime aussi profiter de la vie : cuisiner, voir mes amis, mes proches.
N°5 : Océane Zaepfel
24 ans, elle est originaire de Minversheim, proche de Brumath : l’Alsacienne du Nord de la bande ! Elle est actuellement ostéopathe près de Sélestat.
Monter sur la scène du Royal Palace, ça ne vous fait pas peur, vous, la locale de l’étape ?
C’est vrai que je connais bien la maison (rires). Ce n’était pas une surprise pour moi la première fois que nous avons découvert la scène et les infrastructures. Lorsque l’élection Miss Alsace s’est tenue au Royal Palace la première fois, je n’ai pas tenté ma chance. Je ne me sentais pas prête. Cette année, je ne voulais plus laisser passer cette chance.
N°6 : Isabella Hebert
20 ans, elle est originaire de Mundolsheim, mais réside à Schiltigheim. Après une filière internationale en espagnol au lycée des Pontonniers à Strasbourg, Isabelle s’est lancée dans un BTS en communication, tout en étant en alternance dans une clinique esthétique.
Isabella, vous vous êtes focalisée sur l’espagnol au lycée… Quel est votre lien avec cette culture latine ?
J’ai une double culture : alsacienne et colombienne. Une partie de la famille de ma mère vit en Colombie. J’ai grandi dans la culture latine. L’Alsace et la Colombie sont très différentes, mais elles ont tout de même quelques points communs : la générosité, la chaleur humaine, et le côté solaire.
N°7 : Annael Sellam
18 ans, la benjamine de l’aventure est originaire de Strasbourg. Passionnée par le dessin depuis son plus jeune âge, elle vient de rejoindre le LISAA, une école de design strasbourgeoise.
Vous êtes la plus jeune de l’aventure. Quelle cause vous tient à cœur ?
J’aimerais défendre les gens harcelés. Énormément de jeunes en sont victimes. J’aimerais aller dans les écoles, avec ma couronne et mon écharpe, pour les sensibiliser. Je suis certaine qu’une Miss Alsace peut avoir un impact sur eux.
N°8 : Elisa Sipp
19 ans, elle est originaire de Zellenberg, à côté de Colmar. Elle suit un BUT en techniques de commercialisation à Metz, tout en travaillant pour Wolfsberger les week-ends. Elle aimerait travailler dans la mode et le luxe.
Sipp, c’est un nom reconnu dans le Haut-Rhin, surtout dans le vin…
Effectivement, mon grand-père était vigneron et ma grand-mère a même reçu un Bretzel d’or. Il ne manquerait plus qu’une petite-fille Miss Alsace, dans la continuité des choses (rires) ! J’ai baigné dans les kouglofs, les bretzels et la cuisine alsacienne toute ma vie. Je suis très attachée à ma région.
N°9 : Marie Fega
24 ans, elle est originaire de Habsheim, entre Mulhouse et Bâle. Elle suit un master Management des ressources humaines en alternance.
Pourquoi avoir choisi de se lancer dans cette aventure ?
À cause de ma taille, beaucoup m’ont encouragée à tenter l’aventure. Malgré mon côté très réservé et timide, j’ai engrangé assez de maturité et j’ai décidé de passer le cap. Depuis, je me suis prise au jeu. Je ne regrette pas du tout. Mon entourage m’a même fait remarquer que je suis moins timide depuis que je me suis lancée. Je vais plus facilement vers les gens.
N°10 : Blanche Striebig
21 ans, elle est originaire de Colmar. Elle suit un BUT en techniques de commercialisation et aimerait se tourner vers un master international dans l’industrie.
Est-ce votre premier concours de Miss ?
Non. Ma famille étant originaire d’Ungersheim, j’ai participé à la Fête du cochon et je suis devenue Miss Schiffala. Ensuite, j’ai été élue reine du carnaval de Colmar. L’étape supérieure, pour finir en apothéose, était Miss Alsace. Tout s’est fait naturellement.
N°11 : Anastasija Jekic
21 ans, elle est originaire de Bischheim. Elle est en master Comptabilité contrôle finance à l’EM Strasbourg, en altenance dans les opérations internationales en banque.
Vous avez des racines serbes. Vous baignez dans deux cultures ?
Oui, mon prénom et mon nom sont d’origine serbe. Mon papa est né en Alsace, car mes grands-parents y ont migré. J’ai découvert les coutumes alsaciennes bien assez tôt. J’ai vite baigné dedans. Ça a été très enrichissant.
N°12 : Camille Braquehais
31 ans, elle est de Strasbourg. Préparatrice en pharmacie, mais aussi employée en restauration et mannequin à ses heures perdues.
Vous êtes la doyenne de l’aventure. Quel est votre rôle ?
Je trouve que c’est enrichissant. Comme je le dis souvent aux filles, j’ai un peu l’impression d’être la maman de l’aventure. Du fait de ma maturité, je pense que je vis différemment cette élection.