Pour ce projet « alsaco-rigolo », les musiciens ont tous été rebaptisés : Nicolas Fischer, au chant, est Schnàppsbàcke, Dominique Lô et Dominique Grah, à la guitare, sont Schnàppsbranner et Schnàppssüffer, Laurent Combeau, à la basse, est Schnàppsejer, Grégoire Galichet, à la batterie, est Schnàppsbùmmer, et Katia Jacob, au clavier, est Schnàppsbomb.
Le nom de la boisson locale n’a pas été choisi par hasard: « Notre musique est du rock puissant, le Schnaps est un alcool fort, d’où les noms que nous avons choisis pour le groupe et pour nos personnages. L’idée est de créer un univers décalé. Nos chansons sont festives et drôles, il y a beaucoup d’humour dans la manière dont nous abordons les choses », explique Nicolas Fischer.
Des morceaux à écouter sans modération
La 1ère chanson est maintenant diffusée sur Fréquence Verte, Radio Liberté et France Bleu Elsass. Le 1er clip (Numme dich, qui raconte une histoire d’amour amusante) est sorti sur Facebook et YouTube. Quant à l’album, Sex, Schnapps ùn Rock’n’roll, composé d’une douzaine de titres en alsacien, est en train d’être finalisé et sera en vente dès le 10 septembre.
De nombreux invités ont participé, comme René Egles, Mr Bretzel, Sarah Eddy, Lionel Heinerich, Cadillac Lilou, Laura & Ben Hof, Vincent Bidal, les Bredelers ou Steve Maire.
À quand le premier concert ?
Le groupe se produira sur scène dès que possible : « Pour l’instant, vu la situation, c’est compliqué, mais l’objectif est de jouer dans des salles, dans des festivals, en Alsace et en Allemagne. Nos titres donnent envie de danser, il y a une vraie énergie qui s’en dégage. Nous voulons partager notre musique avec le public», ajoute Nicolas Fischer, qui a hâte de pouvoir à nouveau donner des concerts.