Antonia de Rendinger, Elle, Jeu !
Pour une grosse comédie qui devrait se tourner bientôt, on me propose le rôle principal féminin, c’est super intéressant, je vais auditionner. Et une autre où je suis dans la short-liste. C’est nouveau qu’un réalisateur m’envoie son scénario et souhaite me voir. J’ai beaucoup d’appétit pour le cinéma. J’aimerais laisser des traces.
Thomas Cronimus, MOF pour la vie !
Je suis encore le même guignol, le même naze. Bon, avant j’étais déjà têtu quand je savais que j’avais raison, alors maintenant… Pendant deux ans, je n’ai pas vraiment dit que je travaillais pour ce concours, là, je peux le faire savoir et dire que je suis fier de moi.
Jean Pierre Sauvage, Nobel âme
J’ai passé de bons moments et je suis souvent revenu à Haguenau pour me promener dans la ville qui est devenue très belle, pour aller dans les musées. J’y ai découvert la liberté et l’amitié. J’étais interne au lycée et l’ambiance était très bonne, contrairement aux établissements que j’avais connus pendant toute ma jeunesse. C’étaient les années 50, entre disciplinaire et militaire, mais Haguenau c’était l’ouverture, l’épanouissement.
Elsa Schalck, La classe politique
L’idée était de faire un focus sur le territoire à la rencontre des élus et nous avions rencontré, par exemple, des élus de Basse-Zorn, des élus du conseil des jeunes qui ont réalisé un film tout à fait bluffant sur le harcèlement moral, ils ont été mis à l’honneur devant 700 jeunes, car nous l’avons projeté au Conseil de l’Europe pour la clôture du « Mois de l’autre ». On a senti une vraie dynamique dans la région.
Lavleen Singh-Bassi, Avocate de l’humanité
Je me suis engagée à exercer mes fonctions avec de la dignité, de l’indépendance, et surtout de l’humanité, c’est le terme essentiel, car je fais du droit pénal et du droit de la famille. La justice, c’est important, y participer c’est extraordinaire. Cela me fait quelque chose dans le ventre.
Denis Ramspacher, Grand Paysan
Quand on devient président, on ne peut pas dire que c’est un hasard, il faut un réseau et un minimum d’expérience. L’engagement a du sens pour moi, quand on s’engage on ne peut pas le faire à moitié.
Virginie Schaeffer, Toujours nature
Cet album est très personnel. Je n’ai pas cherché à être quelqu’un d’autre, à séduire qui que ce soit. Je ne renie pas du tout ce que j’ai fait avant, mais j’avais toujours construit mes disques avec l’ambition de plaire aux autres, au public. Au moment de mes 40 ans, je me suis demandé ce qui reste de tout cela, si mes enfants y retrouvent ce que je suis. La réponse a été claire et j’ai commencé à faire quelque chose que j’aime vraiment.
Can Akkuzu,Bientôt tout en haut
Oui, la première fois que je suis allé à l’école, c’était à Haguenau, j’ai commencé le tennis de table ici au TTH, c’est mon enfance. Mes parents sont nés en Turquie, mais ils se sont installés ici. Toute ma famille est à Haguenau, je reviens dès que je peux. Je fais le tour du monde, mais quand je reviens à Haguenau, je suis content… Tokyo est dans un coin de ma tête. J’ai envie de titiller ceux qui sont en haut.
Leïla Martin, Portes d’entrée sur l’Alsace
Mes recettes sont faciles à réaliser, elles sont inspirées des traditions alsaciennes, mais c’est aussi très ouvert sur le monde. Par exemple les Grumbeerekiechle et bien d’autres. Avec ces 50 recettes, j’ai envie que les gens s’amusent en cuisine, qu’ils se fassent plaisir, qu’ils fassent plaisir à leurs proches. La cuisine, c’est joyeux, c’est simple. Ce livre est fait pour créer de la convivialité.
Benjamin Steinmann, Réaliser un rêve
Après mon premier scénario, j’en ai écrit d’autres, l’un sur mon passage à l’Hôpital, plein de petites choses… les années ont passé. J’avais imprimé les textes et je les avais oubliés dans un tiroir. Il y a cinq ans, j’ai fait la connaissance d’une association qui organisait une reconstitution des deux guerres et je suis tombé sur une photo de Malgré-Nous.