Ma voisine a le covid, c’est son tour. Du coup elle est à l’isolement, chez elle et parfois dans SON lit, avec le nez qui coule et un gros mal de crâne. Rien de plus heureusement, comme la plupart des contaminés vaccinés.
En réanimation, 9 lits sur 10 sont occupés par les non-vaccinés. Elle le sait, elle est reconnaissante. Elle écrit des trucs sur les réseaux sociaux, des trucs du genre, les antivax auraient moins fait la fine bouche au temps de la peste ou du choléra. Elle a beaucoup de temps ma voisine, alors elle publie à tour de bras (vaccinés).
Hier elle a posté ce texte d’un auteur inconnu qui fait le tour de la toile et qui semble imparable et plein de bon sens: « Je suis vaccinée 3 fois, et non je ne sais pas ce qu’il y a dedans, ni dans ce vaccin, ni dans ceux que j’ai eus dans mon enfance, ni dans le Big Mac, ni dans les hot-dogs, ni dans les autres traitements… Que ce soit pour le cancer, le SIDA, celui pour la polyarthrite, ou les vaccins pour les nourrissons ou les enfants. Je ne sais pas non plus ce qu’il y a dans l’ibuprofène, le paracétamol, ou autres médicaments, ça soigne juste mes maux de tête et mes douleurs… Je sais juste une chose : la VIE est courte, très courte, et je veux toujours faire autre chose que rester enfermée chez moi. J’ai encore envie de voyager, d’embrasser les gens sans crainte et de retrouver un peu de la vie «d’avant». Enfant et adulte, j’ai été vaccinée contre les oreillons, la rougeole, la polio, et bien d’autres encore. Mes parents et moi avons fait confiance à la science et n’avons jamais eu à souffrir ou à transmettre l’une de ces maladies. Je suis vaccinée non pas pour faire plaisir au gouvernement, mais pour ne pas mourir de la Covid-19, pour ne pas encombrer un lit d’hôpital si je tombe malade, pour serrer mes proches dans mes bras, pour ne pas avoir à faire des tests PCR ou antigéniques pour aller au restaurant, partir en vacances et bien d’autres choses à venir, pour vivre ma vie, pour voir et embrasser ma famille et mes amis, pour que la Covid-19 soit un vieux souvenir, pour nous protéger».
Comme l’écrit ma voisine, il vaut mieux entendre ça que d’avoir le souffle court. À qui le tour ?