Jean-Luc Weber est passionné par l’écriture depuis de longues années.
Il a écrit, traduit et commenté des ouvrages pour plusieurs éditeurs français et étrangers, dans divers domaines tels que la gastronomie ou le tourisme. Il a publié son 1er roman policier « Jamais de sang » en 2014, puis a vaqué à d’autres occupations avant de reprendre la plume.
2020, un bon cru
Cette année, confinement oblige, il a été particulièrement productif. Il a tout d’abord publié « Mort au 32 ? » en mars. Dans ce livre, on découvre, avec un zeste d’humour, les dérapages insoupçonnés d’une bourgeoisie tranquille de Strasbourg, dont les agissements douteux deviennent publiques par le fruit du hasard. Un mois plus tard seulement, Jean-Luc Weber a proposé à ses lecteurs « Manon, bien sous tous rapports, sauf ».
Dans ce roman, c’est une infirmière de Hautepierre, à la fois victime et coupable, qui expose au fil des pages sa logique meurtrière aux lecteurs.
L’auteur s’inspire de l’actualité
Enfin, en mai, est paru « Le viol de Corona ». Dès le début du confinement, Strasbourg s’est vidée rapidement, les contacts sociaux sont devenus rares, laissant seuls des individus pouvant devenir de possibles victimes.
L’agression d’une jeune étudiante en médecine au centre de Strasbourg en est un exemple frappant. Là encore, la scène se déroule dans un décor connu : « Dans mes livres, les histoires se passent à Strasbourg et en Alsace du Nord, à Retschwiller, Salmbach ou Lembach. Peut-être que les lecteurs reconnaîtront leurs amis, leurs voisins, qui sait », raconte l’auteur, qui travaille déjà sur le roman suivant, « Les vies et morts de JRK », qu’il publiera très prochainement.
Ces romans sont disponibles en ebook et en version papier, sur commande en librairie ou sur Internet.