Dans la vie de tous les jours, il est à la retraite et donne des cours de tai-chi-qi gong dans son association DO, à Haguenau et à Walbourg. Il fait aussi du golf et explique les similitudes avec le tai-chi : « Il faut être zen, dans la non-pensée. C’est le wu dji, le cercle autour du yin et du yang, qui, lui, n’a plus de dualité. Et dans mon sigle, il est ouvert, cela signifie qu’il y a encore autre chose ». Peut-être que cette autre chose, Jean-Luc Ferrer l’a expérimentée en 2018, lorsqu’il a fait une expérience de mort imminente…
À l’époque, il voit « des galaxies, comme sur la photo de couverture, je ne pouvais pas inventer cette vision des choses que les ordinateurs ne calculaient pas encore ». En 2020, il sort un premier livre sur le sujet, La porte du bonheur, mais « c’était tellement gros pour y croire que j’avais rationalisé. Alors dans Le voyage, j’ai tout mis ! Je ne cherche à convaincre personne, je passe un message d’espoir, pour permettre aux gens d’avancer ». Un livre qu’il veut « philosophique » et un message « philanthropique », pour vivre au moment présent : « L’ego se base sur le passé ou le futur pour vous empêcher d’avancer. À vous de changer les choses ».
Une histoire toujours positive
L’auteur écrit également des poèmes très appréciés sur Facebook, qu’il a regroupés dans deux recueils, intitulés Symphonème. « Je m’inspire de tout, les comédiens, le fantastique, les problèmes de société, les contes pour enfants… » Les babouches de Babaraillou, un livre jeunesse joliment illustré par Hocine Soltane, vient aussi de paraître. Dédié à sa petite fille, « c’est un souvenir de son grand-père, et une histoire, toujours positive, inspirée par mon épouse ». Enfin, Jean-Luc Ferrer finalise Faits inexpliqués, sur « tous les faits paranormaux que j’ai eus dans ma vie et des témoignages de gens de confiance ».
Livres disponibles à la Maison de la presse de Haguenau, dédicaces le 11 décembre à 14h.