Il n’y a jamais personne quand vous passez, les barrières sont là depuis des semaines, cela n’avance pas. Bien entendu vous êtes de mauvaise foi puisqu’un matin le ténébreux macadam noir vous dit d’arrêter de râler et de passer tout droit. Les chantiers font bien gamberger l’automobiliste dérangé dans ses habitudes. Les engins et les panneaux de signalisation disparaissent et c’est mieux qu’avant.