Ce lundi 15 janvier est une date particulière : c’est le troisième lundi de janvier, et c’est donc le fameux « Blue Monday », celui où on est censé être le plus déprimé de l’année. Carrément. Avec la semaine qui suit, celle où vous lisez ces lignes a priori.
Pourquoi ? Parce qu’on estime qu’après les fêtes, on revient tranquillement au travail, on est encore tous un peu dans le déni, mais là, cette fois, c’est sûr, faut s’y remettre, et en plus avec un temps à pas mettre un canard dehors. Non vraiment, c’est déprimant.
En décembre, on s’est refait tous les Disney, à rire ou pleurer avec toutes nos petites princesses (de Raiponce à Moana en passant par Elsa – qui techniquement est une reine), on a pris quatre kilos sans s’en rendre compte (on s’en doutait un peu quand même), on a vu la famille, et là, paf, retour de bâton : on est seul avec zéro envie de sortir faire du sport, et on a remis des séries policières. Le moral est en berne. Normal.
Le choix de déprimer ou non
Alors que faire pour vaincre cette semaine de blues ? Vous connaissez l’adage : comme on fait son lit on se couche ! Donc pour avoir le sourire, il faut déjà entreprendre de faire des choses qui donnent le sourire ! Mettre une tranche de citron dans son verre d’eau (ho que c’est foufou), dessiner un smiley dans la purée des enfants, jeter une boule de neige sur le voisin, la bonne humeur peut se cacher n’importe où, tant qu’on a envie ! C’est un peu comme l’affaire du verre à moitié plein ou à moitié vide.
Pour quelqu’un comme moi qui arrive plus ou moins à la moitié de sa vie, je préfère me dire que j’ai encore une moitié de vie à vivre, découvrir, m’amuser, aimer, plutôt que de me dire qu’une moitié est déjà passée… Attendez. La moitié ? Oh la déprime…
Vivement lundi prochain.
