Au bloc numéro 2, qui était le 3 rue des Fourmis et qui aujourd’hui est le 7, l’entrée gauche du jardin était délimitée par un haut mur avec une fenêtre en arc. On appelait cette voûte la fenêtre espagnole. D’un bloc à l’autre on se connaissait, mais pas tellement. Chacun restait chez soi, et les vrais voisins de son bloc c’était comme la famille. On n’a jamais cherché à savoir pourquoi il y avait un tel mur puisqu’à côté il n’y avait pas de grillage pour empêcher le passage. Le mur est toujours là, une fantaisie esthétique ou une facétie de maçon.