Coucou les amis, c’est Jacky le Brumathois.
Aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un de mes souvenirs d’enfance, un dessin animé japonais qui m’a marqué à tout jamais, et il s’agit de Goldorak ou de Grendizer en langue originale du créateur Go Nagai.
Donc nous sommes en été, en 1978 et j’ai 7 ans et demi. Le mercredi après-midi, comme tous les enfants, je regarde le Club Dorothée sur notre toute première télévision en noir et blanc, et d’un coup je vois un tout nouveau dessin animé avec un garçon de ferme qui se transforme en prince puis qui pilote un robot géant pour aller combattre des ennemis extra-terrestres avec une panoplie d’armes complètement dingue. Je reste scotché devant mon écran. Rien que les chansons en intro, j’adore, et à la fin aussi, surtout celle du chanteur Enrique qui pour moi est la plus belle, mais remplacée par Noam par la suite, suivront d’autres comme les Goldies, Lionel Leroy qui a aussi fait Albator, Bernard Minet, etc. Les musiques orchestrales pendant le dessin animé, c’était tellement sublime, les personnes étaient tellement attachantes, comme mon préféré Rigel, le propriétaire du Ranch du Bouleau blanc, où Acturus le Prince d’Euphor travaillait. Maintenant encore je pourrais vous chanter tous les génériques et vous citer tous les ennemis des 74 épisodes qui ont été diffusés.
L’année d’après, pour faire ma petite communion, je suis obligé de faire mon catéchisme tous les mercredis après-midi à l’heure de la diffusion de Goldorak, mais par chance la dame qui nous faisait cours nous laissait regarder notre dessin animé avec son fils Daniel, aussi dingue de ce robot que moi, et chez eux c’était sur une télé couleur. Donc un grand merci à Madame Heid d’Offendorf, une femme extraordinaire que j’ai revue récemment. Maintenant encore, à plus de 50 ans, je garde une affection toute particulière pour ce dessin animé qui m’a profondément marqué, comme il a marqué les générations suivantes, mais je peux dire que j’étais parmi les premiers enfants de France à avoir cette chance de le découvrir.
De temps en temps, je m’achète pour le plaisir un petit objet qu’on appelle des goodies, comme les dvd, tasse, timbres, cendrier, briquet, figurine, mangas ou en 2021 la nouvelle bande dessinée Goldorak entièrement réalisée par des Français, avec une aventure nouvelle et inédite que je recommande aux fans. Je terminerai en vous disant : Goldorak GO, Cornofulgure, Astérohache, Rétrolaser, et j’arrive Grand Stratéguerre.
