« Revenir à l’essentiel. On débranche, on arrête tous les appareils, et on se pose. Je trouve le clin d’œil sympa, parce que ça rejoint ma façon de penser », avait résumé Marikala dans son interview à Maxi Flash en janvier. L’artiste a longtemps été touchée par la musique et les textes de France Gall et Michel Berger avant qu’elle ne les décline en spectacle à son nom.
C’est lors d’une rencontre avec Grégory Ott, le directeur musical du projet, que la magie a opéré sur Quelques mots d’amour… « Ce sont des textes qui parlent d’humanité et d’amour, qui sont encore très actuels. Mais ce concert, ce n’est pas du copié-collé. On n’imite pas France Gall. On a monté une équipe de musiciens incroyables, qui donnent toute la beauté à ce projet. »
Si, maman si, Evidemment, Ella elle l’a et tous les autres tubes du duo phare des années 80 sont accompagnés par Grégory Ott au piano, Laura Strubel aux claviers et chœurs, Sylvain Troesch à la guitare, Jérôme Wolf à la basse, Jérôme Spieldenner à la batterie.
« Contrairement à ce qu’on peut croire, donner l’impression que c’est facile, c’est ce qu’il y a de plus difficile. Techniquement, c’est compliqué à chanter, estime Marikala. Michel Berger, dans les structures de ses morceaux, c’est un filou. Donc ça a demandé beaucoup d’efforts. »
Désormais rodé, le spectacle a été lancé en janvier à l’Eden de Sausheim—coproducteur avec Rebelle Production, le label créé par Marikala en 2015—, et a encore de beaux jours devant lui. Après Gambsheim, il fera halte à Illkirch le 10 mars, à Sélestat le 24 avril ou encore à Bischwiller le 21 mai.
Son 1er album de Noël
« HO-HO-HO ! Certains d’entre vous me le réclament depuis longtemps, alors avec mon équipe de lutins, on s’est lancé dans une fabrication 100% artisanale. TADAAA !! Voici mon tout premier EP de Noël, dispo gratuitement sur toutes les plates-formes ». Marikala
