Maxi Flash : Croire, votre dernier album est sorti en août 2020, en pleine pandémie. Vous le présentez enfin au public lors d’une tournée dans des cathédrales et des églises. Pourquoi ?
Natasha St Pier : Ça fait quelques années que j’ai la chance de chanter dans ces lieux. Ce sont toujours des moments assez forts puisque les spectateurs ne reçoivent pas les concerts de la même manière que dans une salle de spectacle, comme si on avait une meilleure écoute ou une plus grande ouverture. Pour des textes comme ceux que j’ai envie de véhiculer, c’est le meilleur endroit. C’est un spectacle qui se déroule dans une église, mais on n’a pas besoin d’être croyant pour venir. Il suffit d’aimer les chansons d’amour ou d’aimer ma voix. Si vous ne m’aimez pas moi, ça va être compliqué parce que je suis là du début à la fin. Ce sont des chansons spirituelles et inspirantes.
Vous en profiterez aussi pour reprendre vos plus grands succès et faire un clin d’œil au passé ?
Il y aura même deux clins d’œil. La setlist est déjà prête. Comme le spectacle a été créé et très peu joué à cause de la pandémie, on a décidé de le garder comme il est. Je l’aime ainsi. Je serai à Haguenau avec un pianiste très « local », Vincent Bidal, qui est celui qui a monté ce spectacle. J’ai la chance de travailler, de composer et de me retrouver sur scène avec lui. On est très heureux de pouvoir présenter ce spectacle chez lui.
Est-ce que vous connaissez un peu l’Alsace et la région de Haguenau ?
Vincent Bidal est mon conjoint, il habite le Nord Alsace, alors j’ai eu la chance de découvrir la région avec lui à plusieurs reprises. Je viens toujours avec un grand plaisir et je me réjouis de rencontrer le public alsacien. On devrait passer une très belle soirée le 28 avril prochain.
Réservations à l’office du tourisme de Haguenau ou sur
www.premierepartiemusic.com
