mardi 3 décembre 2024
AccueilChroniquesDu tic au tac par JackyLes souvenirs d’Offendorf

Les souvenirs d’Offendorf

Coucou les amis, c’est Jacky le Brumathois, mais avant j’étais un habitant d’Offendorf et j’y suis même né comme je vous l’avais déjà une fois écrit ici dans le journal. Il m’arrive par moment de repenser à cette jeunesse simple que j’ai vécue là-bas, et à mes amis d’enfance. On a tous une certaine nostalgie, mais toujours des choses positives qu’on a vécues et à force d’y penser, j’ai des bribes de souvenirs qui me reviennent comme des petits flashs. J’en ai parlé à mon amie Emmanuelle Jennevé (ancienne camarade d’enfance) récemment. Ce sont des éléments assez enfouis dans ma mémoire, alors il est possible qu’il me manque des détails, ou que certains souvenirs ne soient pas exacts à 100 %, car j’étais vraiment tout petit.

Une des premières choses dont je me rappelle, c’est la rue principale, 50 mètres après le restaurant le Flammestueble ; il y avait un distributeur de bonbons et de chewing-gums où tu mettais 20 centimes et tu tournais pour avoir ta friandise. Ensuite je me souviens qu’à côté de la seule boulangerie, il y avait un point relais de la Poste avec une belle horloge, mais je ne pourrais pas vous dire qui étaient les personnes qui y travaillaient. Je sais que par la suite la Poste a déménagé dans l’ancien restaurant le Cygne où il y avait une belle piste de danse à l’époque dans la ruelle où j’habitais. De mémoire, on avait également deux boucheries, une grande en face de la forêt du Rhin, Monsieur Dillmann si mes souvenirs sont bons, et une plus petite dans un angle vers la route du Rhin. Dans la rue de mon père, on avait également un vendeur d’électroménager, Monsieur Isaac, avec du matériel de qualité comme les réfrigérateurs de marque Frigidaire que mon père possède encore et qui fonctionne parfaitement, même 50 ans après. Je me souviens aussi du magnifique terrain de pétanque en face de la mairie, où plus tard ils ont construit la nouvelle mairie, de Gucht, un petit magasin où tu trouvais toutes sortes de bonbons ; si tu en avais un vert dans le papier, tu en recevais un gratuit.

En m’y promenant pour le Messti 2024, j’ai vu une maison pas loin de l’école où travaillait Madame Hortense, la pharmacienne à laquelle on donnait notre ordonnance. Le lendemain on pouvait récupérer nos médicaments directement chez elle. Un service qu’elle rendait aux plus anciens, et à ceux qui ne pouvaient pas se déplacer. Je n’ai pas tout cité, quelques-uns seulement, car la liste est trop longue. Salut Bisamme !

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