Dans un monde où les prototypes d’endurance sont devenus hybrides et turbo, l’Aston Martin Valkyrie LMH débarque comme une anomalie en catégorie Hypercar. Basée sur la version routière et dépourvue d’électrification, elle conserve un V12 atmosphérique de 6,5 litres – une rareté en compétition. Mais ce choix technique audacieux sera-t-il viable face aux Ferrari, Toyota et Porsche taillées pour la course ? Si son ramage mécanique promet d’être un régal pour les amateurs, son niveau de performance reste une inconnue. Les premiers essais auraient été décevants et Aston Martin ne dispose pas des mêmes ressources que ses rivales. La balance de performance (BoP) devra aussi équilibrer ce concept unique face aux machines hybrides.