Son fils, huit ans et demi, était victime de troubles liés à l’anxiété depuis tout petit et les problèmes se sont amplifiés au fil du temps : « Il a développé des tocs qui sont devenus de plus en plus envahissants, son entrée en CP a été catastrophique et la situation était devenue presque ingérable. J’ai cherché des solutions, le psychologue, le sophrologue, le kinésiologue et puis j’ai découvert le neurofeedback dynamique, et là, les changements ont été rapides », explique Caroline Vogler.
Aujourd’hui, après quelques mois de séances, son fils va bien. « Ce n’est pas un remède miracle, mais avec lui, les résultats sont là ». C’est pour cette raison qu’elle décide de se lancer. Elle suit une formation, elle achète le logiciel mis au point par deux psychologues cliniciens américains aux débuts des années 2000. Elle obtient également un diplôme de psychologie, coaching et neurosciences pour accompagner ses clients.
Une méthode sans danger ?
Le neurofeedback dynamique est présenté comme une méthode de bien-être qui apprend au cerveau à se réguler.
« C’est un entraînement cérébral qui va permettre de corriger les dysfonctionnements de tous les systèmes biologiques (nerveux, digestif, endocrinien, immunitaire, squelettique…) au fil des séances. Il en résulte un mieux-être physique et psychique. Les séances ne demandent aucun effort, car l’apprentissage se fait subconsciemment en écoutant de la musique ou en regardant un film. C’est sans danger et non invasif, on n’envoie pas d’électricité au cerveau ». Pour Caroline, comme pour les rares praticiens en Alsace, cette méthode s’adresse à tous, sans limite d’âge, du nourrisson au senior.