Vibration est de retour. Quel bilan pouvez-vous tirer de la première édition ?
Que prévoyez-vous cette année ?
Stéphane Heiderich : La première saison était très majoritairement centrée sur le piano. Sur l’ensemble du festival, plus de 1 000 personnes étaient présentes. C’était une vraie réussite. Il y a eu un véritable emballement de la part du public, mais aussi des artistes. C’est pour cela que nous organisons une deuxième édition cette année, du 11 au 22 octobre. Il y aura de grosses têtes d’affiche, comme Renaud Capuçon qui viendra ouvrir le festival, accompagné du pianiste Guillaume Bellom, mais aussi Claire Désert et François-Frédéric Guy.
Dans cette programmation, de nombreuses têtes d’affiche se démarquent…
Effectivement. Notre salle nous permet d’accueillir du monde. Il y aura notamment Sanseverino en février, Aurélien Vivos, le gagnant de The Voice en avril, puis Murray Head fin mai. Il y aura aussi de nombreux humoristes comme Bernard Mabille, Thomas VDB ou encore Naïm, anciennement Lamine Lezghad, qui apparaissait dans On ne demande qu’à en rire avec Laurent Ruquier. Comme chaque année, nous accueillerons aussi La Revue Scoute pour trois soirées.
Qu’en est-il du théâtre ?
En plus des pièces pour les familles, nous proposerons du théâtre classique avec une adaptation de la pièce Le malade imaginaire de Molière. Il y en aura pour tous les âges et pour tous les goûts. En décembre, nous accueillerons une lecture musicale de Pessoa : l’intranquillité, dans le cadre du festival Jazzdor, avec le comédien Frédéric Pierrot. La pièce Où cours-tu comme ça ?, en janvier, fera un clin d’œil aux Jeux Olympiques. Plus tard dans le mois, la compagnie S’poart proposera Rock it daddy, dans le cadre du festival
Decadanse.
La programmation complète : www.mac-bischwiller.fr
