Maxi Flash : Cédric, quelle est votre histoire avec la photographie ?
Cédric Schell : J’ai commencé à prendre des photos avec mon téléphone et les gens me disaient que ça rendait bien. En 2018, je me suis décidé à acheter un bon appareil. Au début, c’était très difficile et ce n’était pas simple à prendre en main. J’ai mis un an à tout bien comprendre. Fin 2019, j’ai dû créer mon autoentreprise, c’était plus par obligation que par envie. Je proposais alors des calendriers et des shootings. Je souhaitais faire d’autres prestations.
Qu’est-ce qui vous plaît dans la photographie ?
J’aime beaucoup me retrouver seul, découvrir de nouveaux endroits. C’était comme ça au début, mais maintenant une routine s’est installée. Être au bon endroit au bon moment, c’est ce qu’il y a de plus beau dans la photographie. J’ai découvert les environs de fond en comble, jusqu’en Suisse et en Allemagne. Pour moi, l’Alsace est la plus belle région de France. Je passe tout mon temps libre à prendre des photos. C’est plus pour moi que pour les autres. Je n’en vis pas. C’est un métier où il y a beaucoup de concurrence. Je préfère que ça reste une passion.
L’anticipation est importante en photographie, n’est-ce pas ?
Oui. Ces endroits, j’essaie de les photographier au meilleur moment de la journée. Je me renseigne toujours sur la météo au préalable. Tout est réfléchi et précis. Il y a toujours le facteur chance. Mais si l’on ne la provoque pas, on n’y arrive pas. C’est comme pour les chasseurs de tornades.
Votre page Instagram compte plus de 27 000 abonnés, c’est impressionnant !
Oui, c’est vrai. Les gens s’abonnent et attendent de voir des photos. J’essaie toujours d’avoir un petit stock à poster pour faire plaisir aux abonnés.
Vous avez aussi contribué au livre L’Alsace en 500 photos, sorti il y a un mois. Avez-vous des projets à venir ?
Pour l’instant, non. Mais la sortie de ce bouquin m’a donné beaucoup d’idées.
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